[Expérience] La lèche

Tout le rêve à commencer dans une rue ou j’étaie accompagnée d'une personne importante a mes yeux (Petit copain, membre de ma Famille, Meilleur ami(e) je ne sais pas qui. Mais nous devions dans cette rue tourner vers le « dépôts » du restaurant du cœur car nous n'avions pas grand chose à manger. La porte était ouverte et deux femmes tout à ait normal distribuait des colis au gens...

Mais en nous approchent de la porte, j'ai vus au loin de policier grandement armée d’arbalète comme des gardes de sécurité de grand niveaux et je vis plus loin des t'as de petits groupe de gens noir et métisse (non français) qui traînait, je conclut donc que les policiers était là pour calmer ces groupes....

Au moment ou je vis une fille aussi pauvre, jeune, de même taille et de même style de vêtement à bas prix que moi s'agenouiller sur le sol, les main sur le mur et face au mur.... Et tout en continuant à avancer vers la porte ou les deux femmes servait les colis repas je voyait de plus en plus de filles et des mini groupe de fille ( 3 ou 4 ) face contre mur.

Je n’eus pas le temps de poser la moindre question à ces filles que l'ont criât derrière moi «Front et main contre le mur et à genoux, tout de suite ! » - Je regarder sans trop comprendre mon ami(e) / membre de ma famille, enfin, la personne qui m'accompagnait et je lui conseillât de ce mettre dans cette position pendant que je voyait toutes les autres personnes aire de même.

J'entendais au fond de la rue des coup de feu à répétition qui m'indiquait que c'était bien l'arme utiliser par les « policier » mais ceux-ci avançait de plus en plus vite vers nous.... Nous, qui étions face au mur sans bouger juste sur le trottoirs d'en face ou se trouvais la porte de l'entré du restaurant du cœur.

Au moment ou les coup de feu arrivait derrière nous ainsi que les policiers, je me suis retourner (ai juste tourner la tête, toujours les mains sur le mur) et j'ai vus environ 7 ou 8 grosses balles de couleur bleu marine au ralenti foncé sur mon dos et tout en retournent ma tête vers le mur je m’apprêtait au choc qui allait me faire terriblement mal. …. Mais je n'ai ressentis que très peut de douleur, juste une ou deux balles qui m’ont frapper brutalement mais pas traverser.

Les policiers continuent leurs route pour tiré sur les gens après nous, j'ai pris cette personne qui m’accompagnait par la main et je l'ai tirer en courant dans le restaurant du cœur qui avais encore sa porte ouverte.....

Mais en arrivant dans l'ouverture de la porte du restaurant du cœur tout changeât, … l'ont se serais crus dans « Docteur Who » pour ceux qui connaissent, en réalité derrière cette porte ouverte il n'y avais pas de dépôts de nourriture et des gens qui la distribuait il y avais des t'as d'endroit démesurée, plus grand à l'intérieur qu'as l'extérieur. Des Parc, des Vallées, des Ruelles... et tout cela, bourré, blinder de monde qui grouillait dans tous les sens... je ne comprenait pas mais j’allai vite comprendre le but de toute cette mise en scène. !

Je commençât donc avec la personne qui m’accompagnai à explorer les lieux, des plus banales au plus étranges et sans aucun sens. - Je commença donc à voir des escaliers qui montait comme une ruelle géante qui présentait des magasins (mais seulement de nourriture) et je vis des McDo, des flunch, des Restaurant, des Fast food en veut tu, en voilà...  et ou les gens qui se trouvait normalement dans la porte du restaurant du cœur acheter à manger. - Mais rapidement le comportement des vendeurs devenait suspect.

Je les voyait et je leurs posait des questions sur cette guerre dehors dans la rue qui nous avais empêcher d'entré, je leur demander simplement des prix ais personne ne me regardait, personne ne parlait, il était là, marchant, a moitie avachie sur eux même comme des Zombies. Quand tout d'un coup une jeune fille vint vers moi et me dicta à l'oreille « Ne pose pas de question, fait ce que tu as a faire et surtout, surtout, surtout, surtout, ne regarde pas comme sa, surtout pas comme sa ! » ….

C'était le mot à ne pas dire pour que mon œil ne deviennent super aiguiser et précis dans tout ce qu'il voyait. Je lui répondu alors quelque chose « Je vais regarder ce qu'il se passe ici et je me fiche que tout le monde entende se que je dit, que tout le monde voit mon regard noir, je vais trouver ce qui ne vas pas dans se restaurant et personne ne m'en empêchera ». - Tout même en sortant de la Boutique je vis une décoration (une grosse grenouille verte et noir en type porcelaine) et je remarqua une mini caméra au dessus de ces deux yeux.

Je compris donc rapidement que je n'était pas rentrer n'importe ou et que j’étaie dans une sorte de repère... un monde ou des gens quelque part... au placé... pouvais entendre ce que je disait, je le savais mais cela ne m'empêcha pas de parler et tout le monde était effrayer pour moi du regard curieux que je posa sur les choses.
Je savais sans vraiment le savoir que dans ce « monde » il y avais des gens comme moi qu cherchait et c'est gent était justement les bandes de noir et de métisse (les non-français) que j'avais vus dans la ruelle l'hors de l'attaque des policiers. Eux, que je voyait rarement dans la grande ville, la vallée, le parc... se baladait et me regardait de loin, je sais qu'il était là depuis des jours et des jours et qu'il mettait tout en œuvre pour trouver ce qui n'allait pas ici...

… En traversent alors une rue avec la personne chèr(e) qui m'accompagnait je vis une petit muret, derrière était placer en arrière plan une porte qui menait à un cabinet chirurgical d'expérience interdite. Et tout en arrêtant ma marche je regarda de côté entre le muret et la porte de la pièce d'opération et je vis une femme sur un Brancard,  était telle endormie ? Était telle morte ? Je n'en sait rien, tout ce que je sais c'est que celle-ci était pousser par une Femme (infirmière) qui faisait très certainement partie de ce groupe de personne tout la haut qui écoutait ce que l'on disait et voyait les gens comme moi qui cherchait leurs secret.

La femme sur le Brancard était vêtus de blanc, attacher par de grosse sangle de couleur noir et argenté de la tête au pieds sur celui-ci et sur son visage qui ne bougeait plus était placer un « coton » ou plutôt une bande, une compresse chirurgical blanche sur ces yeux – Et à l'emplacement même de ces yeux sous la bande se faisait voir et remarquer de grosse tache de sang qui sortait de l'immaculé blancheur du coton. Comme si, comme si, ont lui avais retiré mais ce n'était pas le cas car dans un rêve l'on arrive toujours à savoir des choses, l'ont ne sais pas trop comment mais je savais que cette Femme était l'une des nombreuse victime à subir des opération chirurgical dans les yeux comme si les gens là-haut, au placer essayer de modifier la vue, la vision humaine.

Tout d'un coup, un cris retentis dans le monde étrange ou nous étions, un cris qui venait du Parc et qui ne disait pas « Sauvezzzzzz-vous !!!! » comme ont pourrait le penser mais tout d'un coup ce cris résonnât dans toute la vallée, le parc, la rue et dicta au peuple de se restaurant du cœur « Sautezzzzz !! » - Je compris par ce cris que nous ne pouvions pas nous sauver d'ici mais qu'il allait sauter car les « bordure » de ce monde du restaurant du cœur était des montagnes, des grilles de parc immense, …- Le plus étrange est que je sais qui avais pousser ce cris au loin, c'était un Noir au cheveux mis-long avec des dreads locks, une des personne qui cherchait le secret de cette endroit avec ces amis depuis longtemps et je savais qu'il allait l'écouter. Il avais l'habitude. Un danger état là. Mais je ne savais pas lequel...  

Je pris alors la personne qui m'accompagnait par la main et nous avons commencer à courir et tous les gens qui nous entourait avais commencer bien sur, eux aussi. Comme nous étions dans les ruelles de ce monde nous nous somme diriger vers le Parc et derrière les gigantesque barreau de fers noir (avec des pique au bout) je vis un eu énorme sortir de Terre. Un eu gigantesque, qui à sont apparition nous avait ait aire marche arrière.

Nous continuions donc par la vallée ou des gens qui n'avais pas été prévenus était encore assis à manger leurs pique nique sur l'herbe verte des petite Montagnes de celle-ci. Mais de loin, le danger était là, je voyait là, au loin deux collines ou sur celle de gauche se trouvait les même policiers que ceux de dehors et sur la collines de gauche, des troupeau de pique niqueurs qui se faisait mitrailler un à un et disparaissait en poussière comme s'il n'avais jamais exister.  

A ce moment là, en voyant les policiers rapprocher de plus en plus leurs armes de notre coté (car il longeait la collines) je me suis dit qu'il allait partir vite et pendant que ceux qui pic niquait a nos pied replier bagage une Fille  / Femme est apparut à ma gauche et à celle de la personne qui m’accompagnait. Au moment même ou nous allions partir encore en courant, elle m'attrapa le bras et me demander d'observer.... d'observer de tout mon regarde, de toute mon âme et conscience, de me concentrer.

Et là, la plus belle partis du rêve commença....
Cette Femme me demanda de regarder entre les deux montagnes / colline ou se trouvais les policiers et de l'autre coté les pic niqueurs qui disparaissait en poussière et je vis ne chose étrange, même si pour beaucoup de personne elle aurait parut « normal » pour moi, elle n'avais rien à aire là. - C'était un léger, très léger faisceaux de lumière fin comme un trait qui était placer entre les deux collines  et qui se rapprocher de plus en plus de moi, de la personne qui m'accompagnait et de la Femme / Fille.

Il faisait jour dehors et il n'y avais aucun arbre sur les collines ou entre les collines mais pourtant c'était comme si quelqu'un avais placer une vitre A RELIEF sur le coté gauche du paysage et le faisceaux long et fin brillait de mille eu comme si le soleil se concentrait dessus uniquement, il brillait plus qu'il ne faisait jour dehors. Comme l'effet de lumière dans votre chambre éteinte quand le soleil rappe dans votre fenêtre.

Quand je vis cette lumière qui en plus de cela s’approchait doucement de moi toujours droite et sans changer de couleur, de luminosité ni de trajectoire ou de forme la Fille / Femme me dit à l'oreille quelque chose qui peut paraître banale dans le monde dans lequel nous somme mais qui pourtant dans mon rêve avait un symbolismes des plus puissant, elle me dicta donc « Sandra, c'est... La Flèche ! »

Cette lumière que l'ont nommais La Flèche, je n'en savais rien mais dans cette vie que je menait dans mon rêve elle était une vision miraculeuse, une révélation, un changement, elle représentait la pureté et la force. - Alors tout en la voyant s'approcher de moi de plus en plus je descendis la petite colline sur la-quel j’étaie et là, autour de moi le monde c'était figer, plus rien ne bougeait, les pic niqueurs, les policiers... plus rien, il ne restait que moi, la personne qui m'accompagnait et cette Femme.

Le temps ralentissait et s'arrêtait de plus en plus dans ma tête jusqu'à ce que la lumière se place devant moi, légèrement au dessus de ma tête mais toujours devant moi, alors je leva les deux mains pour la faire briller sur celle-ci mais au lieu de faire briller mes mains elle effaçait les doigts de mes mains ou le fin faisceaux passait...

Je bouger deux ou trois doigts de chaque mains dans la plus grande des délicatesse en les passant dans la lumière, d'une douceur et d'une légèreté incomparable, j’étaie de plus en plus Hypnotiser – Non pas de mal mas justement par la beauté de cette lumière qui s'éclatait sur mes doigts que je bougeait comme si je portait un papillon sur mes doigts. Cette lumière était tellement intense qu'elle faisait et rendait des partis de mes doigts translucide (car elle était plus fine que mes doigts) la Bouche entre ouverte, les yeux grand ouvert et écarquiller, plus un bruit, plus un mot, rien ne reignait sauf elle. et je me réveilla.... encore sublimé par la beauté de mon rêve.

Mercurie