Ceci est une réflexion personnel sur ce qu'on appelle communément « entités » ou aussi ange, démons, esprits élémentaire, défunt, divinités, Dieux, Satan, etc. Qu'importe comment ils sont nommés, individuellement ou en communautés leur nature est pour le moins énigmatique et les nombreux témoignages rapporté, transmit à travers les époques ou ressenti nous avons vécu à leur contact n'ont apportés que des questionnement supplémentaire et aucun élément pouvant nous permettre d'élucider leur natures, leurs racines, leurs objectifs et ainsi de suite...
Pourtant, au premier abord, nous avons eu la possibilité de les catégoriser de manières générales, d'un côté les « démons » qui apporterait malheur, destruction et tout un tas de calamités et de l'autre « anges » qui serait nos protecteurs, nos guides et qui seraient les messager d'une force encore plus grande et miséricordieuse. Un tableau simpliste, des forces du « mal » contre des forces du « bien », n'importe qui comprendrait quelque chose d'aussi simple. Personnellement, je trouves le tableau particulièrement faussé, ce genre de petit clin d’œil à un passé dégénéré, pas trop ma tasse de thé, les Grecs ont bien plus mon respect que tout ces chevaliers en armure marchand sur une splendeur du Moyen-Orient. Mais en dehors de ce conflit que j'ai avec l'histoire, ça sonne encore plus faux à mes yeux, si j'ai bien appris une chose intéressante en observant les masses grouillantes se bousculant sur le chemin du travail, c'est à quel point la notion du « bien » et du « mal » est malléable, véritablement deux mots écrit et défini à l'arrache par un gars dans son temple entre deux messes, sans prendre en compte ceux qui l'ont précédé.
Maintenant, je vais remonté plus loin, bien avant les cultes tels qu'on les perçoit encore aujourd'hui, avant qu'on dresse les premiers temples, avant même que la race humaine est une réelle notion de propriété sur une quelconque terre. Les premiers rites, les premiers cultes, cette étrange tendance à personnifier les éléments qui l'entoure, visible comme invisible. Là, j'effleure le peu que je sais des croyances chamanistes, animistes passés, un bref brouillon qui me semble fort intéressant dans ma réflexion. L'homme, alors primaire associe le peu de trait de civilisation qu'il possède à ses forces naturelles, il crée alors ses premiers dieux. En partant du principe que tout ce qui nous entoure est, que nous sommes aussi, qu'énergie, il modèle donc cette énergie pour en faire un dieux, qu'on appelle aussi égrégore, encore et encore pendant des milliers d'années, avant que la ferveur de l'homme pour certaines entités naissent. Des êtres immatérielles qu'ils vénèrent puis oublie en un instant. Mais l'homme est animal autant que l'animal est l'homme, un point commun existe entre les deux, une particularité qu'il transmet à ses créations peut être, une sorte « d'instinct de survie ».
Par la suite évidemment, l'homme créer de nouvelles notions, « évolue », complexifiant chacun des égrégores qu'il crée les uns après les autres, ainsi pourrait naître des panthéons aux facettes si proche de l'homme, malgré que toujours immatériel. Faisant de ces dieux des guident, avec un peu plus de ferveurs cette fois, mais aussi avec ces notions de « bien » et de « mal ». Encore plus tard, un nouvel ordre au pouvoir peut tout aussi avoir eu recours à ces mêmes forces, entités, dieux, créer par le passé pour en « altérer », ou peut être « dissocier » leurs natures, ou du moins celle qui fut ancré auparavant, en faire ce qu'ils souhaitaient, des démons ou des anges, et, ou peut même les créer de toute pièce avec ce même procédé utilisé depuis l'aube des temps, ce besoin qu'à notre espèce, le besoin d'être « guider » par quelque chose de plus grand que lui, ce qu'on associé à de la foi peut être ? Et ces dernières créations étant si bien réussite qu'elles peuvent marqué si profondément l'inconscient collectif, que le fait de voir le « mal » ou le « bien » dans leur essence serait plus naturel que leur état le plus primaire qui soit. Peut être qu'au fond, toutes ces entités, ayant tous tant de facette ne serait que des flux d'énergies parcourant que ce soit ce qui nous entoure ou nous-même, sans une once « d'humanité réels » ils ne feraient alors que refléter ce qui est gravé dans notre inconscient collectif, cet image que nous partageons tous d'être hors de notre monde, qu'ils soient destructeurs, protecteurs ou simplement sage.
Pour résumer et conclure ma réflexion, toute ces entités ne serais que notre monde que nous avons peu à peu personnifier dans notre besoin de ce sentir protéger, menacer ou d'être guider (qui sait, peut être un complexe d'infériorité animant la race humaine en général), alors nous interprétons l'univers et ce qui l'habite avec un filtre particulièrement étrange, n'est-ce-pas ?
Évidemment, je ne prétends pas avoir le moindre élément de réponse dans cet écrit, je partages juste une réflexion personnel que je me fais depuis plusieurs années. C'est peut être juste une idée folle qui me traverse l'esprit, allez savoir. Mais qu'importe, c'était quelque chose que je désirais partager à un endroit sérieux, une modeste contribution comme une note en bas de page, simplement. (et je m'excuse si je m'égare, ça peut m'arriver dans mes écrits)
Cordialement, Demenen Silfur.