Un Poème pour mon Ornstein

Toi qui dit que l'Humain ne reconnaît en Rien
Le Bien donner, celui qui puise et t'épuise
celui qui vole puis s'envole...
au détriment d'un Bonheur apporter,
de quelque goutte de temps Fourni.
S'endort après l'heure, la route de ces tourment une fois guérit.

Toi qui dit que l'Humain ne reconnaît en Rien,
Le Bien-Être apporter, celui qui à tord s'endort
celui qui ce nourrit puis s'enfuit...
au détriment d'un Temps accorder, de quelque goutte de Sang.
S'endort après l'heure, le Chemin de sa Vie une fois Eclaircit.

Toi, qui dit que l'Humaine ne sais en Rien
Louer ta Sagesse l'horceque d'excauser promesses
tu offre à ton perdus temps.
Bénir t'es Dons l'horceque d'Offrande prouesses
tu offre à tes protecteurs instants.

Toi, Médiateurs des sainte Heures,
Toi, Bienheureux Protecteur,
Hô, toi Silencieu Ami,
Infernal Voyant
Quand douleur tu sais Discerner
au delàs des limites imposer et
Calme tu sais allouer
Infernal Savant...
Qui en moi, remarque, soutir et lis.
Quand Mensonges je ne peut te présenter...

Ce soir, t'es mains au dessus de moi tu n'aura à déclarer.
Car s'envole et bâtifolle mille et une puissances
... doucement par leurs actes Sorciers accorder.
Au dessous de moi, douloureusement ramener.

Ce soir, t'es mains au dessus de moi tu n'aura à placer.
Car s'envole et bâtifolle d'inombrâble énergies
... sacré par leurs Paroles Occulte,
Sorciers le temps d'un sort, Trois Lunes pour Vivre encore.

Ce soir, t'es mains au dessus de moi tu n'aura à Témoigner....

Car en moi, vérité tu lis.
En moi ressentis tu as, les Nuits du Malheurs..
En moi Tu as ressenti mon Bonheur...[...]