Mercurie - Autobiographie d'une Mercurienne

Bonjour tout le monde
Durant ma longue et triste vie j'ai décider d'écrire un livre sur 26 longues années car j'ai été très longtemps incomprise dans une famille et des proches ami(e)s qui ne croyait pas en l'Occultisme. Prisonnière d'un égrégore à l'age de 11 ans et envoûte à l'age de 14 ans... je me suis lancée dans le milieux de L'Esoterisme pour me battre seul et me défendre...seul.... Je me suis promise de ne jamais mourir avant de terminer ce livre... Et je suis actuellement en train de l'achevé car il est la plus grand oeuvre de toute ma vie. 

J'ai donc l'honneur de vous présenter la plus grande chose que j'ai faite de ma vie, Mercurie, soit l'autobiographie d'une Femme Taureau et Mercurienne sur spirituelle et le surnaturelle. 

Je vous présente donc ce premier chapitre et me diront ceux qui souhaite que je poste la suite sur le forum dans ce même sujet  

Introduction :

Préface Général:

Préface

[…] "- Maman! Maman! "; Résonnait ma voix ocre, grave et terrorisée au milieux de cette chambre éclairée par la Lune. 

Cette voix, que tout le monde finissait par connaître dans cette grande cité de 12 Immeubles du Lancy; et moi, cette fillette qui la portait que personne n'osait dans les yeux regarder. 

-"Maman! -Maman!" d'une voie si sombre criait-je dans cette chambre au reflet de sage enfant, la gorge pleine comme si dévorée par la peur je n'en pouvais plus hurler. Mais Maman était là, assise au bout de mon lit comme tout les soirs, comme toutes les nuits a veiller sur moi. 

Elle était assise là.. depuis plusieurs heures maintenant, l'on pouvait percevoir au clair de lune le trait de ses cernes marqués par la fatigue d'avoir veillé et sa chemise à coucher blanche que l'on distinguait clairement dans cette environnement assombris par la nuit. 

Il était 3h38 du matin, c'était l'heure.. Au dessus de moi était placer une planche qui faisait toute la largeur de mon lit et j'y avais tendrement exposer mes poupée, fixer elle-même par mon papi, elle comportait la somme total de 3 équerre parfaitement vissé au mur au dessus de moi et qui pourtant, 

pourtant, chaque soir dans le silence et comme si le temps s'arrêtait doucement se dévissait au dessus de ma tête... 

"Maman, S'il te plait, ne t'en pas avant que je ne me soit endormis" disait-je tendrement et sur un ton de supplice. 

Il restait encore 6h avant que le soleil ne se lève enfin, enfin.. mais pendant ce temps il fallait lutter. 

 Je n'aimais pas la nuit, je n'aimais pas cette chambre, je n'aimais pas ce lit ou mes dents s'enfoncer sous des larmes de peur et de douleur. Pourtant c'est dans ce lit rose bonbon que devait se terminer encore une fois la nuitée, c'est une fois de plus que je devais prier pour que le soleil se lève plus tôt que la veille, une fois de plus que je devait supplier ma mère de restez à mes côtés... 

et les nuits était de plus en plus longue, de plus en plus douloureuse et brutal.



Papa, 

lui était venus la nuit dernière me rendre visite à la tête de mon lit, les yeux révulsés par le somnambulisme, c'est maman qui était venus le chercher pour le ramener dans le sien et j'étais persuadée d'avoir vus le rideau de mon armoire bouger…   

Celle-ci était beaucoup plus grande que moi et la porte de celle-ci était cassé, c'est pour cela que maman avais mis un rideau pour la remplacer… 

Nous n'avions pas d'animaux et il n'y avait pas de coup de vent dans la chambre alors pourquoi le bas du rideau avait t il bouger ainsi ? 

Comme ci.. comme ci, quelqu'un derrière avais doucement replacer son pieds pour bien le cacher. 


Quelque mois années plus tard...
C'est en sursaut dans ma chambre à Châlette sur loing que je me réveille, j'ai 14 ans à présent et je viens de faire un rêve très étrange. 

Rierez vous, j'ai eu l'impression d'avoir fait un retour dans le temps de mettre vus dans ma jeunesse, dans cette chambre maudite dans la cité du Lancy. 

Le plus étrange dans tout cela n'est pas le rêve en lui même car je rêve très souvent, je rêve également très souvent de chose qui se sont passées. 

Le plus étrange dans ce rêve est que c'était moi derrière le rideau qui essayer de cacher mon pieds qui en sortait légèrement.. 

Je rigole, mais est ce drôle? Est ce drôle? De savoir qu'il y as des années de cela j'ai réellement vus ce rideau bouger…  

Je pose mon pieds nus à Terre et doucement je me lève, 

ils sont encore là.. je les sent me regarder vicieusement, je les sent me flairé immoralement. 

Oui, ils sont bien là; 

plus d'une dizaine au reflet de ma chambre encore une fois éteinte, debout et raide dans leur divines étreinte, les yeux emplis de Souffrance. 

Un deuxième pieds sur le sol ne suffira pas à me débattre, alors c'est par un synonyme de rébellion et de puissance que commence cette histoire, c'est dans le crie sourd de Mercurie que j'entends ma voix de toute son âme résonnez et leurs ordonnez : "Sortezzzz!". […]

Intrigue

"Vôtres quotidien est mon passe - temps,
Mon meilleur ami est un grand dragon rouge,
Dans mes veines circule les puissances des plus grands Mages,
Je marche sur des Etoiles de souvenirs,
réanimant de mes mains les Cendres des plus beaux passée,
Je traverse les Apparences, brouillant vos Croyances,
Je ne demande pas d'argent,
j'obtient simplement d'un claquement de doigt le bonheur que celui-ci apporte.
Les Brûlures sur mon corps, porté comme Nom de Famille.
Ma Vie, Parallèle vos Rêves.
Je Baigne dans vos Imaginations,
nourri à l'énergie d'un million de Mélodies.
Sacrée par l'Immortalité de la Terre Mère,
bénis par la force du Taureau,
Née par les ancêtres de la plus grande de nos Guerre,
Sous le Chiffre de l'Infinie Renaissance.
Je ne suis que celle que vous souhaitez voir...
Démoniaque à l'Angélisme, Angélique au Démoniaque...
Par le Jour,
Je Sommeil dans le quotidien,
Secrètement présente.
Par la Nuit,
j'avance Invisible dans un monde dédoublée de Mille Merveilles.
Dans les reflets de vos chambres éteintes aux apparitions des Astres,
Je Vie."

Pour faire plus simple... Bien plus Simple...
Je suis... à vos yeux :

Tout et rien. 
Je n'ai pas de personnalité car elle sont toutes à ma taille.
A oui, je suis née un certain 8 mai,
le jour symbolisant la fin d'une guerre ... hum,
celle de mes deux origines.
Sinon mon prénom est Sandra, il est jumelée a celui de mon arrière
Grande-Mère Anna, celle-ci habitant une certaine rue du 8 mai...
Elle était juive et Allemande .. hum .
La Nationalité de mes deux Origines;
D'ailleurs, ma mère ce nomme Jeanine,
le nom jumelé de Jeanne.
Jeanne d'Arc étant également le nom de l'hôpital ou je suis née ...
Je vous laisse deviner que mon chiffre de chance est le 8.
enfin... vous voyez le genre ?
Quand à mon nom de famille,
inutile de vous attarder dessus,
il n'est pas vrai, il a été créé fin 1945 pour nous protéger des groupes Nazi..
Je pourrais continuer, mais en réalité, le reste 
vous n'y croiriez pas …

Prologue :

Lettre à Mickael

« J'ai encore l'odeur de ton sang dans les narines, ton vélos suspendus au garage comme l'épave de nos temps d'enfance, je voie encore, dans le noire, à travers les larmes, les bandages blanc serrer t'es poignets et prier Dieux que t'es plaies se referment pendant ton doux sommeil.


Je voie encore la douleur couler sur t'es joues rouge d'amour, et sa main qui me traverse sens cesse, ces insultes qui sortent de m'as bouche et comme ma voix imite tellement bien la sienne...


Je suis Folle ce soir,


dans mes yeux tu voie cette énergie qui te fait peur, car tu la connais, tu la voie chaque nuit quand à t'es peine, mon cœur et mon corps s'enfuit, 2oh tomber dans les sombre nuit d'hiver.


Je ne peut plus dormir et te supplie de rester a mes côtés, ne t'en vas pas. Derrière la pomme C, ton pc, seul source d'espoir ou es déconnections et les pièges se mêle a la folie.


Dans m'as tête il y a ses pleures, mes chairs déchiré à coup de lame, je suis atteinte.


La putréfaction de mon corps est devenus trop lourde a supporté, je ne peut plus me regarder moi même.


Mais je Ris.


Mais je Ris.


Quand la nuit tombe et ou les pôles s'inversent, retiens - moi je t'en supplie, regarde la marionnette que je suis devenus, et les chaînes a t'es pieds, les boulet des temps furie qui te traîne par amour et par haine.


Je suis piéger dans un corps au maléfice intense, regarde comme ma peaux suppure de douleur, regarde ma bouche comme elle saigne de t'expliquer, regarde dans mes yeux le désespoir de ton sectarisme ...


Écoute moi! Écoute moi!


Encore, quand je sais parler. Mes lèvres sont déchiré par la répétitions et t'es rires sont si dure a supporter.


Regarde la marionnette que je suis devenus. Toi qui de t'as tendresse en as filer les cordages. Je ris, seul, tu m'entend, et je sais que quelque part tu as peur, je sais que quelque part, tu me croie... . 


Regarde sur la table basse des juges le tracer de sa mains, les doigter précis du sorcier qui émerge de sa peine et nous tire hors du gouffre .. ALLEZ... Réveille-toi.


Je sais, que toi aussi parfois tu te demande comment tu est encore ici, et pourquoi jamais vivant nous n'en somme sortis intacte.


Car même si aujourd'hui sous les paumes de t'es mains mon regard est devenus noire, et que ma peau est devenus si blanche qu'elle ne peut plus te réchauffer, je voudrait que tu entendent, encore au plus profond de ton être, sur ce ban, dans les forets, sur les routes de nos temps morts, encore je voudrait, une dernière fois que tu entende, de m'as voix tendre de fillette, de mon être de tendresse, la douleur qui émane de mes os, de mes jambes déchiré par les ronces; de la course et de ma peaux qui s'étire sous le feux d'un encens chauffer à rouge... 


Encore une toute dernière fois, Mickael, Mickael… 


Ce n'était pas moi. »

Chapitre 1

Mon Héritage

Versé I - Mon Héritage

Maman, me comptait souvent que j'avais peur du Noir et du Blanc quand il était associé. 

De ce faite je ne supportait pas la guitare électrique de mon père ni même en peluche les Pandas qui était déposé au bout de mon lit parmi la centaine de nounours qui y trônait. 

Peut être étais-je prédestiné à ne pas supporter l'alliance de toute différences. 

Pourtant ces peluches était mes seul amis quand tombait la nuit, entasser au bout de mon lit à m'en faire crever de chaleur il était pour moi mon seul réconfort, ma protection, ma toute dernière et possible résolution. 

Maman voulait souvent les retirer, elle disait que c'était la chaleur qui me faisait rêver.. pourtant, jamais elle n'as pus m'en séparer. 

De toute façon, maman as toujours pris soin de moi. 

"C'est donc sur ce tout premier souvenir que mon histoire commence, un souvenir enfantin, un souvenir bon et mauvais à la fois, un souvenir comme tout le reste maintenant si lointain.."


C'est pendant l'après midi du 8 Mai 1991 que je vis le jour, à l'Hôpital Jeanne d'Arc (Gien) sous les cris de ma Mère qui donnait de tout son être pour m'offrir cette toute première chance. 

Je suis née sous le Signe du Taureau quand la planète Mercure était levée à 21° Dans le Ciel, et quand dehors se distinguait les drapeau Français en symbole de nôtre chère Guerre 39-45.

Je vis le jour de ces deux Origine Allemand et Polonaise, je ne pouvais que mieux arriver qu'en ce jour de Paix. L'on me donna le Prénom de Sandra, Aurore Stéphanie Wrzesiak. 

Sandra signifiant en Grec "Protection de L'Homme" et je ne me doutait point que ce prénom me porterait à mes prochains jours, de grand préjudices. 

Oui, pour faire l'affaire je suis née le jour de la fin de la guerre entre mes deux Origines comme si encore une fois j'étais née pour représenter la différences..

Je n'étais pas une enfant malheureuse, bien que les revenus de mes parents était très réduit, je ne me souviens pas d'avoir manquer de quelque chose un jour, si ce n'est la Paix Mental. 

Sur quelque millions d'humain sur terre, je suis née avec quelque chose que peu de personne connaisse et que peut de personne reconnaisse. 

Je suis née avec une maladie des Nerfs, un dysfonctionnement alternatif du système nerveux très puissant. 

Des nerfs tendus comme des cordes de Violon qu'il ne fallait en aucun cas désaccorder au risque de me transformer en quelque chose que je n'étais pas - Démoniaque à l'angélisme, Angélique au Démonisme. Et ce qui pouvait passer pour une grande maladie, voir un handicape devant nous autre humain, était devenus pour moi mon unique et seul force. 

Effectivement, j'avais la capacité d'augmenter grâce à ce système nerveux défaillant mes émotions et les élever ainsi vers une puissance surnaturel. 

Qu'il soit d'amour, de haine, de rage, de courage ou de tristesse j'avais la capacité de dépasser les limite de toute émotion connus à ce jour. 

Mais tout cela, je n'en ai pris conscience qu'à l'âge de mes 16 ans après avoir été victime pendant des années de cette faille sans précédent. 

J'ai hérité de ce don de la part de mon père, qui lui n'as jamais sur s'en servir et en est toujours rester victime de ceux-ci comme prisonnier. 

De la part de ma mère et de sa mère elle-même j'ai hérité de sagesse et de partage, j'ai hériter de tout ce qui est bon pour les autres et tout ce qui ne nuit pas à autrui. 



Beaucoup se demanderont comment j'ai fait pour apprivoiser une maladie, je n'aurais aucun secret à vous citer si ce n'est le secret de la musique. 

J'ai obtenus de la vie, l'amour et le respect des animaux ainsi que de la nature, j'ai appris a respecter l'humain que je n'aime point et appris à vivre avec mais tout cela remonte de tellement loin... 



Loin de cette évolution, je n'étais encore qu'une jeune fille de 12 ans à peine. 



Physiquement, je ne suis pas bien différente des autre humain, bien que certaine influences m'est profondément toucher au moment de ma naissance . 

Je suis née à ce qu'il parait avec des yeux bleu très sombre qui sont devenus avec le temps marron mais mon hyper - sensibilité et mon approche du noir on fait de mes pupilles noir comme l'ébène ont effectué étrangement un recouvrement total de celle-ci. 

la couleur restante aujourd'hui pratiquement inexistante et n'apparaîtrait que pendant les beau jours... Avec ceci j'ai hérité d'une influence Vampirique qui as fait pousser dans ma bouche une troisième canine à droite. 

J'ai toujours été pousser par maman pour me la faire retirer afin qu'elle ne décale pas toute ma dentition mais cette dent si bien taillé et pointu, aujourd'hui est encore présente à cause ... grâce... à mes peurs enfantine du dentiste et j'en suis bien heureuse car même si aujourd'hui mon sourir n'est pas humain, il est certain que si je suis ainsi, c'est que je dois l'être. 

Je vous laisse deviner que j'ai toujours été très blanche de peau. 

Aujourd'hui sur cette peau blanche comme la neige j'ai fait le choix de graver dans ma nuque grâce à une aiguille pendant une durée de 7 mois l'intitulé "WITCHES" qui signifie "Sorcière" en anglais, et une balance sur l'intérieur du poignet droit en guise de Justice et d'Équilibre surmonté du signe Mercurien qui trône à l'intérieur de mon avant-bras. 

Mon histoire ne commence pas par mon physique car chaque humain est différent physiquement - pas un seul n'est même . Là, est le pouvoir de l'ADN. 

Ma vie n'as jamais été simple a vivre ni même à supporter mais je suis fière, très, extrêmement fière de mon Héritage.

Ho, oui, et pour finir, je ne connais pas mon véritablement nom de famille, mon arrière grand-mère s'étant faite violer par un garde de la légion SS, elle m'as un jour promis de me dire ce véritable nom que je devais porter et non pas celui que celle-ci as repris d'un Polonais qui as élever mon grand-père. 

Mais cette pauvre Anna n'en as jamais eu le temps, d'ailleurs Anna habitait la rue du 8 Mai, soit ma date de naissance et Anna est le prénom jumeau du mien, Sandra. 


Un Héritage certes pauvre matériellement mais tellement riche spirituellement. 



Versé II - Une Vie à demi

Je me suis toujours demander si une femme Enceinte qui subissait un traumatisme ne pouvais pas transmettre celui-ci à sont enfant... J'ai appris avec le temps que de nombreuses peurs d'une femme enceinte se transmettais dans les gènes lors de la construction de fœtus.

Mais quand est t'il de son passé? Serte, la personnalité de la personne qui donne naissance offre à son enfant une partie de celle-ci tout comme ma douce mère ma offert les choses les plus belles et valeureuse. Mais quand est t'il des influences des mauvaise émotions que la personne à ressentis dans sa vie? Je me suis toujours demander si les mauvaises expériences qu'avais vécus ma mère se trouvais dans mes gênes, qu'elle soit placer avant ma naissance ou pendant mon évolution en son être.


J'ai découvert avec le temps que les chiens ne font pas des chats... et que je suis le reflet même de ma douce mère, une femme bonne, un être doux, une bonne, prodigieuse et phénoménale personne. Mais au passer malheureusement aussi difficile que le miens... j'ai donc pus observer en écrivent ma vie que celle-ci suivait couramment le court de la sienne et aussi extraordinaire que cela puis-ce paraître, je suis son reflet... à travers moi scintille sont rayonnement, son échos, je suis à quelque influences prêt sa parfaite imitation.


Effectivement, le passé des gens touche notre magnifique et t'en attendus progéniture, c'est dans à ce moment précis que la lois de l'empreinte peut se présenter... mais plus encore ma mère m'infligea dés ma naissance une empreinte dont je ne saurais jamais me séparé et qui rythmera ma vie. Là, intervient la lois de Récolte quand j'apprends que j'ai toujours été désiré par ma mère mais qu'elle ne voulait pas m'engendrer avec mon père qui était déjà très malade.


Ceci est un Hommage à ma merveilleuse et étonnante Mère, qui à sacrifier sa vie entière en restant avec un homme qu'elle n'aimais pas pour que je possède un père... pour que connaisse mon véritable paternel et que je vive a ces côtés.

Une Mère, rester amoureuse d'une amour sans fin... à sacrifier sa vie entière en ne retournent pas avec l'être qu'elle aimais réellement. Cela pour m'offrir ce qu'elle pensais être une vie Normal.


Mais cette femme au regard vert émeraude à fait vivre en moi cette amour qu'elle avais perdus quand elle m'annoncer la chose Suivante:



Après ce dure Sacrifice qui perdura le long de sa vie entière, celle-ci et cela dés ma naissance grava en moi ce prénom qui, au fond de moi, donna vie à une influence profondément amoureuse, ce deuxième prénom que je porte comme unique souvenir de son véritable amour. Elle as souhaitez de son propre grès graver dés ma naissance son amour pour cette Homme et toute ma vie sera bercer sur la douleur de ma douce et tendre mère...


Sandra, étant mon véritable prénom ne cache pas le moins du monde l'influence que le prénom Aurore m'apporte et ne camoufle pas non plus la Haute et Puissante Symbolique que celle-ci lui as donner.


Il est donc facile d'en conclure que je suis celle que je suis, un être vivants parmi les être vivants... Mais tout de même repose en moi et jusqu'à la fin de mes temps Aurore, une enfant perdus, une enfant née à travers ma propre personne et j'accepte avec honneur et fierté cette Hommage que ma mère ma donner pour soulager sa peine, oui, je l'accepte face à tout les Sacrifice que celle-ci à faite pour moi. Je l'accepte pour elle, seulement pour elle, afin que celle-ci sache que cette influence qu'elle ma donner reflète en moi sa peine, sa douleur et son amour incommensurable.

Chapitre 2

Ils voulaient ma Mort

Versé I - La Cité du Lancy

J'habitais à l'âge de 10 ans environ avec mes parents ainsi que ma petite sœur de 5 ans, Elsa, dans une très Grande Cité mal-vus au yeux des autres, le genre d'endroit que ne peuvent s'offrir que les personne miséreuse et peu fortuné.

Le genre de Cité ou se trafic dans les caves des passes de drogue et de prostitué. Le genre d'endroit ou un enfant ne devrait pas être élevé.

Notre maison était tout de même très confortable, nous ne manquions de rien sous les nombreux sacrifices de ma mère qui travaillait en tant que Femme de Ménage. J'avais tout ce dont j'avais besoin, un père, une mère, une sœur, des jouer, un lit chaud, à manger 2 fois par jours et bien sur un toit au dessus de ma tête.

Je n'ai jamais eu à me plaindre de ma situation et j'essayais parfois d'aider ma mère en lui proposent quelque Franc que j'obtenais de ma Grand Mère mais celle-ci refusait toujours,

c'est alors que je les déposait discrètement dans son sac à main pour qu'elle les utilise s'en s'en rendre compte mais je sais au fond d'elle, qu'elle le savait.

Notre Cité se trouvait dans une grande descente qui surplomber l'allée qui menait à notre Collège Municipal mais je n'étais en ce temps là qu'as l'école encore primaire.

Je ne me souviens que de peu de choses... une chambre avec ma petite sœur assez remplis, à la limite de l'enfant gâté. Ma Mère, donnait vraiment tout pour nous, que cela soit de sa santé, de son moral ou de son confort matériel.

Mais le bonheur comme beaucoup le savent ne se trouve pas dans le confort et l'argent - J'ai eu la malchance d'avoir un père malade qui me repoussait quand je voulais lui fait des câlins et je ne cesser de faire ... chaque soirs, chaque nuit ... pendant plusieurs heures, de martial et terrorisent Cauchemars.

Maman avait plusieurs suppositions sur ceux-ci ainsi que sur leurs cause, la première était une supposition de "chaleur" à cause des énormes et nombreuse peluches que j'avais au bout de mon lit. La deuxième supposition était le vers de lait Chocolaté que je buvait chaque soir avant d'aller me coucher. Mais après avoir retiré ne serait ce qu'une nuit les peluches et ce petit vers de Lait, les cauchemars ne cessait toujours pas.

J'avais peur, chaque jour, dès le matin au réveil de me recoucher pour la nuit à venir... car cela ne cessait jamais, pas une seul nuit j'ai passer en douceur et en tendresse dans mon lit d'enfant gâté.

Tous les soirs, avant d'aller me coucher, je ne sais pour quel raisons, je regardait l'œilleton de notre porte qui dans la maison éteinte par la nuit brillait de mille feux à cause de la lumière du halle de notre appartement allumer, je ne pouvais m'empêcher de le fixer pendant plusieurs minutes avant chaque heures de coucher.

Comme si... comme si... cela était une sortie, une porte, un portail qui renfermer de l'autre côté de celui-ci quelque chose que je devais savoir absolument avant la nuitée.

Je disait toujours je t'aime a ma mère avant de me coucher, la gorge sèche, la voix âpre, les yeux terrorisé, c'était notre petite habitude, pour elle, ce n'était qu'un message d'amour, pour moi, c'était un "au revoir" car j'avais peur... mais de quoi? Je ne le savais jamais.

J'avais peur, tout simplement peur. Je dormait dans la même chambre que ma petite sœur qui avait l'air de passer de très bonne nuit mais ce n'était pas mon cas car la planche qui avait été fixer au dessus de mon lit se dévissait doucement chaque soir, comme si le temps s'arrêter pour me blesser.

Des livres, posés à plats énorme comme des Dictionnaires tombais sur mon visage a peine endormi alors qu'il était improbable que cela se produise.

Il y as quelque temps, je pensais que mes cauchemars était lié au gens que je voyais traînée dans les caves, au personne que j'avais vus sauter du 4° étage, soit 2 étages au dessus de nous, je pensais que cela pouvait être causée par beaucoup de chose mais jamais je n'ai trouver la réponse.

Je savais simplement que quelque chose, quelqu'un voulait ma mort..

J'allais presque en oublier de vous citer ce Square maudit que je déteste par dessus tout et qui se trouvait à quelque mètres de notre immeubles. Ce Square n'était rien d'autre qu'une forêt avec quelque jeux d'enfant poser par-ci par-là mais je ne saurais vous décrire l'angoisse que je ressentait en le regardant par la fenêtre de ma chambre.

Quelque chose me voulait du mal, mais quoi ? ...

Dans ce petit bonheur à la fois triste ou je voyait ma maman passer sa vie devant la fenêtre à regarder le parking public, je rêvais d'avoir un cheval mais par dessus tout, d'avoir un animal.

C'est alors qu'un jour ma mère et mon père m'attendait dans la salle à manger qui était relativement spacieuse et ou sur la table était déposer une magnifique et gigantesque plante qu'il m'ont poser cette question dont je me souviendrai toute ma vie

"Tu voudrais un petit chien ou un pet Chat?"

- Ma réponse fut évidente, je voulais un petit chat et j'ai donc par cette acte acquérir un magnifique petit chaton roux , un chat typé Sauvage que j'ai nommé avec le Plus Grand des amour "Vanille". Je passais beaucoup de temps avec mon petit chat, a lui fabriquer des maison en carton car j'étais certes cette enfant sage mais les bêtise n'était tout de même pas à négliger et j'utilisais souvent les draps de ma mère pour me cacher avec mon chats et ma sœur dans l'appartement, construire des cabane... des cachettes...

Mais mes parents envisager très avec hâte de trouver une maison pour continuer à nous élever.

Quand ma mère a terminer par trouver une maison dans la même ville. Une jolie petite maison à deux étage et pourtant malgré le bonheur d'avoir une chambre rien qu'à moi, un espace sans petite sœur, rien que pour moi, j'avais peur, j'avais peur qu'il me suivent...


Versé II : Irina

J'ai toujours été une enfant seul au regard noir... Mais dans cette Grand cité du Lancy ou je résident une fille a sus me tendre la main, Irina. Aussi âgée que moi, 10 ans. Elle était une enfant magnifique au cheveux long châtain et bouclée, de magnifique yeux vert.

Celle-ci avait toujours élevée dans le domaine de l'Occultisme et de la Significations de Chaque Choses. Elle m'apprit donc par le biais de sa mère le faite de devenir Végétarienne à l'âge de 10 ans et demi

Elle m'a appris le respect de la nature et des animaux mais également la symbolique de chaque choses. Habitant l'appartement d'en face, elle disait entendre mes cris la nuit, et je me souviens que dans son petit appartement, sa mère mettait sous clefs des livre d'Occultisme dont je pouvais percevoir la titre de ceux-ci à travers la porte transparente qui les renferme.

Je voyait souvent sa maman dormir sur un tapis sur le sol avec un cristal sur le front sans vraiment comprendre.

Mais Irina était ma seul et unique amie, lié comme l'amour, unie comme deux sœur nous avions même prévus de vivre ensemble. Irina, était aussi victime de beaucoup de cauchemars qu'elle me comptait le soir quand nous dormions ensemble.

A droite du Lancy se trouvait une forêt que l'on nomme vulgairement le "Square Lantara", Square dont je vous ai parlé plus tôt dans cette forêt, chaque soir nous nous aventurions pour y trouver je ne saurais vous dire quoi... , peut être une fée des compte racontez par sa maman mais a chaque fois l'entré de cette forêt nous immerger d'une peur terrible.

Irina, avais moins peur que moi et entré toujours la première mais il était toujours moins drôle de la suivre... Je me souviens parfaitement de nos escapade entre les boisée, les tronc tomber à terre, les jeux pour enfants dans cette forêt qui a notre age nous paraissait être une immensité.

Irina croyait fermement comme sa mère en toute sorte de Magie, mais je n'aime pas prononcer ce mots car la Magie ne compte pas en elle des balais volant ou des baguette magique qui vous jette des paillette, j'emploierai donc dans mes textes le terme d'Occultisme. Elle y croyais dure comme fers... et elle avait raisons. L'Occultisme existait bien chez elle, existait bien chez moi et cela en dehors de notre propre volonté.


Je devint donc végétarienne à l'âge de 11 ans environ suivant ces bon conseils mais également en voyant les atrocités qui se passait dans les abattoirs que je ne citerais pas dans ce livre.

Ma mère, était totalement contre cette façon de vivre et avais décidé d'en parler au docteur pour savoir si ma santé n'était pas en danger sans viande, celui-ci lui as répondu que je prenait beaucoup de risque mais je n'y ai jamais vraiment crus... Ma mère me forçait donc pour ma santé a manger de la viande qui n'y ressembler pas. De la viande blanche.

C'était une situation tout à fait horrible que je ne supportait pas. Pour moi c'était comme manger mon petit chat, j'imaginais l'animal pleuré, dépecé. J'imaginais la vache mourir devant son veau qui allait lui aussi y passer mais je n'aime pas m'attarder sur ce sujet qui me blesser de plus de jour en jour...

Versé III – La Dame Blanche

Irina et moi adorions a l'age de 10 ans et demi seulement faire des escapade dans les boisée du Square Lantara mais quand il était temps pour elle de rentré chez elle, je devait moi, qui avais peur du noir courir dans l'allée qui rejoignez son immeuble au mien, j'empruntai toujours le même chemin, un petit chemin étroit sur le côté gauche de son immeuble ou les gens encore éveillée me regardait courir avec halène.

Mais c'était arriver en bas de mon immeuble que commençait cette peur réel, car comme vous le savez, dans les immeuble public existe toujours une cave commune et celle du mien n'était jamais fermer, je ne serais vous dire pourquoi, les gens y laissait toujours la porte grande ouverte.

C'est alors q'une fois avoir pousser la porte de l'immeuble, je me retrouvais face a une ouverture noir comme l'encrage des enfers. Un portail que je n'osais jamais affronter ni même pénétrer de peur de ne jamais m'en échapper.

Et, c'est devant mon corps terrifié par cette ouverture assombrie que je voyait cette Femme, debout et raide dans une robe blanche comme l'ébène. Souple, volante et légère comme la neige... Elle portait des yeux extrêmement rouge et sur son front trôner des cornes de Taureau inverser et qui vers le bas pointé.

Comme si chaque soir elle me regardait rentré, sans bouger, sans bruit. Je n'osais pas hurler le nom de ma mère dans les escalier au risque de réveillé tout l'appartement mais ce n'était pas l'envie qui m'en manquait, c'est alors que j'attrapais toujours la première rampe verte sombre de l'escalier pour me hisser avec peur et complètement terrorisé sur les marches du premier étage.

C'est en courant comme une dératé que j'atteignais encore une fois mon foyer ou ma maman inquiète m'attendais...

Je ne savais pas qui était cette femme et comment faire croire a sa maman cela quand l'on as 10 ans seulement ? ... Tout ce que je sais c'est ce Maman avais voulut aller me faire voir un Psychologue mais j'ai toujours refuser – j'en ai vus assez par la suite, qui d'ailleurs ne m'ont en rien aider - . Souvent à l'école Primaire, pendant mes heures de classe je m'amusais a la dessiner mais même le dessin de cette femme m'était insupportable, je ne pouvais jamais longuement le regarder avant de le déchiré sous un acte de Colère.

C'est a ce moment là que mes recherches ont commencer, tout le monde parlait d'une « Dame Blanche « quelque chose de Démoniaque et Angélique à la fois, mais je ne saurais jamais sur de la nature de celle-ci... ni même de son apparition.

Versé IV - Je dormais sur le Sol

Maman me proposait tout de même très souvent de dormir sur le sol de sa chambre tout en bas de son lit pour me rassurée.

C'était donc pendant les nuits les plus durs que celle-ci installait avec amour mais aussi avec haine une couchette de camping rouge et blanche sur le sol de sa chambre et de son côté de lit.

Je me souvient encore de la chaleur de cette petite couette qui m'éloignais de cette chambre maudite, je me souvient encore du reflet de ma mère, qui au dessus de moi dormais paisiblement ... mais je me souvient surtout du niveau du lit ou je me trouvait, car étant coucher sur le sol je ne pouvais rien voir a ma gauche que le dessous noir du lit de mes parents ...

Comme me retrouver face au enfers eux-même, ce n'était pourtant pas le dessous du lit qui me faisait peur mais le noir qu'il faisait sous celui-ci. Un noir intense... profond.

Je n'était pas le genre d'enfant a avoir peur qu'un Clown sorte du dessous de mon lit, j'avais peur de bien d'autre chose... de quelque chose de plus profond, j'avais peur du noir tout simplement. Ce néants que je ne comprenait pas et ou, absolument tout pouvais se cacher.


Maman, elle en avais marre que je ne la laisse pas dormir la nuit, que je la supplie de restait réveille jusqu'à ce que je m'endorme, elle n'en pouvait plus de veillée au bout du mien, elle était fatiguée de devoir installer en plein milieux de la nuitée mon petit camping en bas de son lit. Mais maman as toujours possédez une patience d'Ange.

C'était donc pendant les nuits les plus affreuse ou je ne pouvais plus respirer que celle-ci me donnais la permissions de dormir en bas de son lit, à ces côtés... Mais bien que cela me rassurais au plus haut point, les cauchemars eux, était toujours là...

Versé V – Je t'aime Mikey

... Nous voila mes chères lecteurs au Chapitre sur Mikey, je ne parle pas non là de Mikey la petite souris noir et blanche des dessin animé mais du Chapitre, l'un des plus important de ma vie, celui qui me construite, celui qui ma forger et ce sont les larmes au yeux que je tape pour vous ces premières lignes... sur un Air de We Can Fly Away de Emma Townshend.

C'est une cigarette à la bouche et une bière à la main que j'accepte, pour vous, de faire renaître les émotions les plus intenses de toutes mon existence.

Durant tout le Livre de Mercurie, vous découvrirez que j'ai vécus des choses très peut simple a vivre et que je suis même sous l'emprise d'un Egregor... Je suis tomber dans la Magie, dans la Drogue mais sachez, sachez mes chèrs amies que je suis tout aussi tomber dans l'Amour à l'age de 11 ans seulement. Il me sera très difficile d'écrire ce chapitre avec ma paire de Lunette briser en deux et la petite écriture que j'utilise afin de rendre mon Livre plus lisible mais plus que tout, ce Chapitre marque une partie intégrante de ma Vie, il est le commencement de toute choses.

Vous avez, peut être dus voir à la télévision il y as des années de cela un film assez long... qui était le plus souvent diffusé en deux parties et qui ce nommais Le Monde Magique des Leprechauns. Si vous l'avez déjà vus il vous suffit de vous en souvenir pour me connaître. Si vous ne l'avez jamais vus il vous suffit de le regarder... tout simplement.

Je ne serais pas vous d'écrire entièrement ce Film mais je pourrait vous en citer un petit résumé simple et rapide. Il s'agit tout simplement de deux groupes de petits personnages Mythique, les Leprechauns (Fêtard, Buvard et bagarreurs) et des Esprits de la Forêt (Romantique, Bien élevé, élégants et qui ont pour but de protéger la Nature). Ces deux petit groupes, Tribu ce font la guerre depuis des années mais un Leprechauns : Mikey tombe fou amoureux de la Princesse des Esprits de la Forêt : Jessica et ceux-ci exerce tout ce qui est en leurs pouvoirs pour rester ensemble malgré les différentes et la guerres qui s'abat sur leurs deux peuples. Quand leurs viennent tout d'un coup l'idée de simuler leurs mort pendant quelque heures pour prouver à leurs deux famille qu'il préfère mourir que d'être séparer...


Cela ressemble très fortement à la grande tragédie de Roméo et Juliette et pourtant je n'ai jamais regarder cette œuvre de Shakespeare.

Le Monde Magique des Leprechauns fut un film très grandement reconnus dans le monde entier mais il fut cesser d'être diffuser dans les année 2000 ou de tout nouveau films ont fait leurs apparitions, restant tout de même dans le s mémoires de tous.


Que pourrait-je vous dire si ce n'est que je suis tomber raide dingue amoureuse de Mikey, le Leprechauns. Garçon fort, tout de vert vêtus, garçon musiciens et bagarreur. Il m'inspira l'esprit de la Fête, m'appris la Respect de la Nature, m'enivras de l'amour et me fit respiré l'air pur de la Douce Irlande sous les mélodie infernal des violons Celtique.

Je suis serte tomber amoureuse d'un Personnage inventée de toute pièce, un rôle jouer par Daniel Betts, mais jamais je n'ai connus un amour plus grand que celui que je lui portait.

Ma vie, à l'age de 11 ans était bercer par la festive et attrayante Musique Irlandaise et c'est quand mon esprit focalisé sur les images de ce films faisait disparaître ma peur atroce de la nuit qui chaque soir tombais sur notre grande cité du Lancy que je me sentait enfin vivante.

De ce film est née mon amour pour la Nature, est née mon amour pour la Fête mais aussi l'amour de la Magie et de la Beauté. De ce film de toute pièce inventée par un célèbre et admirable producteurs je suis née une seconde fois. Moitié Esprit de la Forêt, moitié Leprechauns, je suis devenus celle que je suis aujourd'hui. Bagarreuse, Amoureuse, Romantique, Fofolle, mais surtout Fantastique.

Ma mère avait pris soin de regarder avec moi les diffusions de ce films sur le petit magasine qui nous servait autrefois a voir les programme télévision et une cassette VHS incruster dans le magnétoscope prêt a l'enregistrement nous avons toutes les deux réussie a enregistrer ce film qui plus de 2h30 durais.

Je le regardait tout les jours, chaque matins, chaque après-midi, chaque soir... j'en connaissait absolument toutes les paroles et réplique, ce film était avant que je ne le sache le résumé total de ma Vie et devenait peut à peut ma façon d'être et de voir les choses.


Un beau jour, ou plutôt triste jour... tandis que s'insérer avec amour la cassette vidéo dans le magnétoscope de notre petit salon pour la lire comme tout les jours... la bande de celle-ci c'est coincée dans le lecteur... j'ai tout d'abords commencer à appelé ma maman dans la plus grande des détresse, et pendant que je voyait la bande se rayer dans celui-ci, les premières larmes d'un amour perdus commençait a couler sur mes joues d'enfants.

Ma belle maman as fini par arriver en courant vers moi et as stopper l'électricité de tout ce qui pouvais être relié a la télévision, arrachant avec délicatesse la bande qui était resté coincé dans le magnétoscope...

Elle me jeta ce regard que je n'oublierais jamais, comme un air tout a fait désolé mais elle mesurais grandement et largement l'ampleur de la situation... Je venait de perdre ce qui me faisait enfin Rêver sur cette triste Terre.


C'est assise sur le sol de notre salon que je tenait entre mes mains d'enfant la bande noir du film comme les tripes de mon doux Mikey, comme s'il ne me restait plus que cela...

Ce jour là, fut le jour je versa non pas mes premières larmes de peurs mais pour la toute première fois, coulait sur mon visage des larmes et des flots de désespoir intense, la bande entre les mains, les deux genoux au sols, ma mère a mes côtés essayant de me rassurée... Cette instant marqua à tout jamais mon existence.


J'ai du attendre quelque années plus tard que le film ne sorte en film Gratuit sur le net pour le revoir et je pus écouter pour la première fois la musique que j'écoute en ce moment. We Can Fly Away

Mon rêve fut pendant de très longue années de rencontrer Daniel Betts bien que je savais qu'il ne serais pas dans le rôle de Mikey... à chaque anniversaire je comptait les années qui me séparait du jour ou je rejoindrait l'Angleterre pour le rejoindre afin de le rencontrer. Bien qu'aveugler, amoureuse d'une pure et simple invention...

Je n'oublierais jamais, jamais, le sourire de Mikey, et si ce n'est pas cette musique qui résonnera dans les haut-parleurs de mon Mariage alors c'est sur cette Musique que je souhaite de tout cœur me faire incinéré.


Il reste néanmoins très important de noté que dans ma vie je n'ai eu que d'influences que ce et cette unique Film. Une création qui ma grandement marquer à l'age de mes 11 ans et qui aujourd'hui à mes 26 ans me fait encore pleuré.

Vous remarquerez très rapidement qu'en dehors des Influences de Mercurie, je n'ai jamais chercher autre chose qu'as retrouver le bonheur que ce long métrage ma procuré, j'ai effectivement toujours chercher un garçon au cheveux long, tout mes petit copains était habiller de vert, mon respect pour la nature et les animaux as grandit et l'Occultisme fut ma passions principal. Tout les détails et dans les moindre recoins de ce film, l'on pourra me percevoir.

Chapitre 3

Le Collège

Versé I – Une Enfant Timide

Je suis rentré au Collège a l'age de 12 et demi comme je suis née en milieu d'année. Timide et renfermer je suis rester avec Irina, qui vas beaucoup de chance est rentré dans le même Collège que moi en bas de la rue qui chevauché la Grande Cité du lancy.

Tout les jours nous utilisions l'argent que sa mère lui donnait pour déjeuner pour acheter des Friandise à la Boulangerie un peut plus haut que le collège entre lui-même et les immeuble et nous les dévorions cacher des autres dans un petit coin de la Grande cours du Collège.

Je n'était pas ce que l'on pouvais appeler une « Fille à la Mode « au contraire, je portait souvent les même genre de vêtements : Des pull-over ultra épais et de couleurs caca-d'oies avec souvent des doudounes sans manche qui était attacher avec une fermeture sur le devant et était en sorte de colle-rouler. Ma favorite était la beige avec mon pull-over vers-kaki.

Nous n'étions pas bien riche et je ne connaissait pas les « marques » je n'en portait jamais – Je portait de simple chaussures type talons pas très chers ainsi que Jean simplement fleuries sur les côtés.

Je ne portait pas de maquillage et je n'avais pas de coupe de cheveux particulière, simplement une longue chevelure châtain qui me tombait jusqu'en bas des fesses et je n'avais d'ailleurs jamais connus du coiffeur, la caresse. La pointe des cheveux en bataille, cette longue chevelure laissait tout de même apparaître des yeux extrêmement noir ainsi qu'une peau très blanche.

L'on peut dire que, arriver en 6° J'étais plutôt une enfant très sage qui suivait bien ces court et faisait bien ces Devoirs le Soir.

Irina, était à l'école ma seul amie et j'étais très très souvent victime de l'insulte que connaisses beaucoup de monde : « Salle Bouffonne « , Effectivement, car je n'écoutait pas ce qui était à la mode mais du Claude François à la place, soit un arrive qui avais fait fureur une génération avant la mienne.

Jusqu'au jour ou je l'ai ai rencontrer ...

Versé II – Grand Frère

Un Jour, tendis qu'Irina et moi dévorions nos bonbons acheter précédemment à la Boulangerie du Lancy dans notre petit carré de pelouse bien cacher du regard des autres, j'ai vus au loin, une bande de 4 Garçon qui nous regardait...

L'un deux avais repéré Irina, celui-ci se nommait Mickael. Celui-ci ainsi que tout le reste de la bande était âgés environ de 2 ans de plus que nous deux mais je ne saurais vous dire pourquoi Mickael avais littéralement fâcher sur Irina.

Quand nous nous aperçus que ceux-ci nous regardait, nous avons parler entre nous, vous savez de ce qui se dit entre deux filles quand des garçons plus âgés qu'elles les regarde.

Quand tout d'un coup de garçons de la bande sont arriver vers nous. C'était Mickael et Sébastien. Mickael était venus pour séduire Irina mais je n'ai jamais sus que ce Sébastien faisait là... alors pendant que Mickael papoter avec Irina je me suis en-aller avec Politesse pour lui laisser un minimum d'intimité.

Je connaissait absolument rien a l'amour, toujours Vierge, jamais tomber amoureuse, je me suis donc éloigné et ai été rejoindre Sébastien qui lui aussi par Politesse attendais un peut plus loin – et je remercie le Ciel du courage que celui-ci m'as donner pour lui dire « Bonjour «

Ensemble, nous avons ris, beaucoup ris, sur la façon dont Mickael essayait désespérément de séduire Irina et sur la façon qu'Irina réagissait a la moindre phrase que celui-ci avançait. C'était donc la toute première fois que je rencontrait Sébastien, Skateur dans l'âme.

J'ai rapidement faite connaissance avec lui et nous devenus ami, comme soudé, il est devenu le Grand Frère que je n'avais jamais eu.

Ce que j'ignorais, c'est que la Vie parfois nous cache bien des choses... et Irina c'était finalement bien entendus avec Mickael, un Gothique au cheveux mi-long noir et au yeux d'un vert spectaculaire.

De mon côté, comme si le Destin nous en avais fait cadeau, j'ai commencer a voir Sébastien comme mon meilleur ami pendant que Irina s'attachait de plus en plus à Mickael et là, cette petite bande nous as transformer...

Versé III – La Nuit une fois Tombé

Sébastien était un Garçon absolument Radieux, de court cheveux châtain et un profond regard Bleu que je n'oublierais jamais. Habiller d'un Pull noir ou était inscrit le nom du groupe « Slipknot » il n'avais sa place que sur une planche de Skate !

Mickael et Sébastien avais l'habitude de sortir avec leurs amis la nuit une fois chuté dans une petite ville campagnarde nommé Cepoy. C'était là ou habitait Sébastien et là ou tout le monde la nuit tombé se rassemblé.

Sébastien habitait dans un véritable et vieux Moulin que l'on nomme aujourd'hui et que l'on as toujours nommé d'ailleurs ... « Le Moulin Neuf « comme pour lui donner cette aspect d'immortalité. Sa petite chambre était placer au Rez de chaussés et c'était pendant que ces parents dormait paisiblement que tout le monde s'invitait au chaud a y entrer.

Ce soir là, nous somme rester un peut dehors car en été nous apprécions tous la chaleur que le climat généreusement nous donner. Nous étions tous assis, Moi, Mickael, Irina, Sébastien et quelque autre amis sur les marche de la « Poste » du petit village de Cepoy, Sébastien étant assis juste sur la marche qui se situais au dessus de mois, celui-ci s'amusait a ce foutre de moi car l'air me faisait légèrement frissonner. Quand tout d'un coup, assise sur la marche du bas, je me retourner vers lui...

Et c'est dans le Noir et la Nuitée Merveilleuse qui nous était offerte que le Lampadaire de la poste a éclairé ces yeux d'un bleu merveilleux, assassin, scandaleux, malin, et a la fois tellement romantique et mystique. Son regard plonger dans mes yeux noir quelque instant, fut tendrement et malicieusement s'arrêter le temps.

Mais ce moment fut vite terminer sous les rire et les yeux écarquiller de Mickael qui avais tout les deux tout compris. L'on était tomber raide-dingue amoureux.

Quand tout d'un coup ce magnifique Silence fut rompus par Mickael qui ajouta avec malice et courage « Sébastien, j'en suis sur je te met a Terre « lui ajouta-t'il d'un air envieux, d'un ton d'enjeux, il le cherchait, voulait le provoquer pour montré sa force à Irina, sa belle dulcinée. - Sébastien se mit a rire en lui précisant qu'il n'avais aucune chance mais Mickael était bien déterminer a séduire celle qu'il aimais.

Je l'ai ai vus partir tout les deux comme deux fous dans la rue, courant, le sourire au lèvre sur les pavé de la petite ville de Cepoy. Puis une fois arriver sur le trottoir d'en face, Mickael attrapa Sébastien et le Bouscula...


M'avais toujours dit Sébastien. Quand celui-ci attrapa Mickael par son pull noir « KoRn » et d'un traie sur le sol le retourna pour le coucher littéralement sur le bitume en deux-temps trois-mouvement.

C'est après seulement que Mickael ce soit relever et que tout le monde s'assura qu'il n'était pas blesser que je poussa stupidement un rire, vous savez le genre de rire qui nous sert, nous, les fille à séduire. Irina complètement rebuter s'en alla avec son bien aimé plus loin pendant que je suivit Sébastien dans un endroit Secret ou il souhaitait me mener.

Versé IV – Mon Premier Baiser

Ont l'appelé « le Lavoir » un magnifique endroit situer juste a côté de chez Sébastien ou les gens nettoyaient leur linge sale dans les anciens temps. Sébastien, galant et toujours aussi charmant me fit rentré la première dans celui-ci et se plaça dans le coin pour me laisser un maximum de place afin que je ne tombe pas dans l'eau sale.

Je le sentis tout d'un coup s'approcher de moi et son corps, son cœur contre le mien... sur la bouche il s'avança pour tendrement m'embrasser... mais a cause de la sombre nuit et de leurs du sommeil passé j'ai sa bouche raté... - Honteuse je me suis reculer, le dos contre le murs du Lavoir en guise de refuge, je ne savais plus un mot dire mais c'est a cette instant qu'il arriva devant moi pour me relever la tête et avec la plus grande des tendresse m'embrasser.

Nous somme sortie du Lavoir tout les deux la mains dans la mains rejoindre Irina et Mickael qui un peut plus loin fricotais.

Versé V - La Transformation

Nous commencions, Irina et moi a connaître ce groupe de garçons petit a petit... Tous issus du même collège, nous ne pouvions pas nous rater dans les couloirs de celui-ci.

Ils nous avais choisit parmi la centaine de filles qui trônait dans les tranchées du fameux Collège Pablo Picasso – Il nous avais remarquer, capturer... Devenant ami avec le diable, pactisant avec Satan, nous nous enfermions peut a peut, innocente dans ceux qui devenait notre nouveau Quotidien à leurs sombres côtés.

Je me souviendrait toujours et encore de ce jour ou j'ai vus dans notre Lavabo la coloration noir couler de ma longue chevelure auparavant Châtain et le regard que je lança dans le miroir sur le faite une fois accomplis.

Je me souviendrait toujours et encore de ce jour ou j'ai pour la première fois de toute ma vie, sous mes yeux du noir furieusement étaler.

Et ce jour... ou tout le long de mes basses courbes, ces chaînes de fer froid je plaçais.

Dans ces écouteurs que je portait chaque jour autour du coup, Marilyn Manson et Slipknot avais remplacer mon tendre et doux Claude François.

Dans les allées du Collège, je sentait les regards ce détourner sur mon passage, me fixant puis au niveau du sol s'abaissant...

Il était temps pour moi d'apprendre a me défendre, guider par ceux que je considérais comme mes frères, mes tendre protecteurs, mes furieux rédempteurs.

Comme si le temps c'était mis en pause pour me laisser une seconde chance d'exister, j'avais changer.

C'était a présent a travers de long cheveux noir que l'on pouvais percevoir mon visage palis par la vie, mon regard noircie par la nuit, mon corps enrobé de noir velours ... comme pour annoncer de nouveau jour.

Je n'avais pas changer, j'avais grandit.

Dans un monde de Scarifications, de violence, et d'alcoolémie.

J'avais vendus mon âme, pour attraper tout ce qui pouvais me servir d'Armes.

En Compagnie de ceux qui était devenus mes proche amis, Sébastien, Mickael ainsi que leurs connaissances communes j'avançais fièrement et la tête haute vers ce qui m'était promis depuis ma naissance: L'Arrogance, la Vaillance mais surtout... une sombre et noir vengeance envers tout ceux qui m'avais fait auparavant souffrir de mon inconfiance.

J'empruntais une route que ma mère n'avais jamais connus, jamais imaginez, un monde imaginaire tout droit sortis des ténèbres qu'elle se refusait a croire existant.

« Gothique » Voilà, le surnom que l'on m'avais donner, j'avais hériter de la même influence que celle de mes amis et pourtant, malheureusement la Culture Gothique ne se compose pas de Scarification mais de romance et de radieuse et douce abondances.

Mes nuits était devenus Blanches, la lune était devenus mon ami et c'était a présent de la violence qui rythmé mes fantasmagorique journées a leurs côtés.

J'avais belle et bien changer pour développer chez moi une nouvelle vision du monde. Un Paradis noir ou la Violence verbale ne venait plus des autres mais sortait de ma bouche virevolte.

Incomprise par ma famille, d'avoir choisit la voix la plus sombre de notre désastreuse génération, j'exerçais avec peine mon existence dans un milieu a la vision brutal et sanguinaire.

Je n'était plus ce que l'on pouvais demander de la douceur incarnée mais peut a peut dans la violence et surtout dans la défense de sa propre identité je me plaçait avec la plus grande des Fierté.

Enfant sage et timide, je me nourrissait peut a peut l'inconscience auprès de ceux qui avais su me tendre la main que personne ne m'avais donner.

Enfant réserver et influençable, je cherchait mon avenir dans un monde de plus en plus brutal mais un univers qui m'as forger et de force ma doté. Dans un espace temps bien particulier au autres, j'évoluais dans la violence et l'art de plaire à ce qui était Sombre dans la plus grande et silencieuse pénombre.

Versé VI – Mais je vous emmerde « Madame »

Sébastien était dans le même Collège que moi, et comme vous le savez je ne fut pas une fille facile a vivre. - je commençait du moins a ne pas l'être avec mes fréquentations. Je prenait un chemin que ma mère ne connaissait pas, n'avais jamais vécus ni même imaginez – un cheval de rébellion contre tout ceux qui m'avais fait du mal au collège...

C'est alors, pendant un court de mi-année qu'intervient dans notre classe une grande femme assez âgée, blonde platine via une décoloration, les yeux marron entouré vulgairement de maquillage comme une voiture volé. Celle-ci était devenu la nouvelle « pionne » du collège et faisait le tour des classe pour se présenter au élève et d'un ton très hautain elle nous annoncer qu'avec elle « cela n'allait pas ce passer comme ça ! » Elle voulait dire par cela qu'elle allais nous « mater » et nous mener la vie dure mais je n'avais pas besoin de ça, surtout en ce moment.

Mme Rivolsie se nommais t'elle. Alors qu'un jour je devait sortir du collège pour rejoindre mon copain Sébastien, elle commença a chercher les histoire sur mon carnet de sortis et les heures qui n'y était pas inscrites... alors, que, auparavant cela ne causait aucun soucis.

J'étaie assez presser ce jour là car mon doux Sébastien m'attendais a la sortie et celle-ci ajouta a mon ton « précipité » « Tu ne vas pas me la faire a moi, tu vas aller dans le « bocal » une heure le temps que je vérifie t'es heures de sorties.

Le Bocal était le surnom que l'on donnait au petit réfectoire qui accueillais les élève en colle ou exclus des classe, ceux qui devait rester dans le collège mais ceux qui n'avais pas le droit d'en sortir tout de même.

Alors c'est avec le regard noir que je la fixa longuement, avec insistance... devant un tel affirmation j'allai donc devoir attendre 1 heure de plus avant de voir mon copain. Quand tout d'un coup sortie de ma bouche quelque chose que je n'aurais jamais oser espérer de moi « Mais, moi, je vous emmerde Madame ! »

Ce fut le début d'un long chemin, un chemin bien tracer vers se que m'avais enseigné ma bande d'amis. Le rebellions, petit serte mais le faite de ne pas se laisser faire par n'importe qui, n'importe quoi...

Celle-ci sur un ton absolument choquer, 2 jours après sont arriver au Collège ne s'attendait pas a ce qu'une élève aussi jeune que moi lui affirme une tel chose... elle resta choquer sur le ton de ma parole... et étrangement me laissa sortir sans chercher autre chose de moi pour que je puis-ce enfin rejoindre mon bien aimé.

Elle l'avais chercher, avais parcourut toutes les classes pour faire la maline devant nous les élève, elle avais eu le retour de la médaille, le retour de son orgueilleux tout simplement, tout purement.

Chapitre 4

Un Nouveau Départs

Versé I - Le Déménagement

Il était enfin temps pour notre famille de 4 personne et de notre petit chat de déménager dans notre nouvelle maisons à Châlette sur Loing. Nous avions donc été tous ensemble repérer les lieux avec la voiture de ma mère et j'étaie âgée à ce moment là de quelque années de plus seulement.

J'étais très heureuse d'avoir enfin mon indépendance, ma propre chambre, mon propre petite monde loin de ma petite sœur mais j'avais cette peur qui me hantais de plus en plus, cette peur qui ne cesser de m'envahir : Celle qu'il me suivent.

Après quelque klm seulement du Lancy je découvrit enfin cette maison, à Première vus, la maison était pratiquement insalubre, une petite maisonnette de deux étages seulement mais relativement bien placer dans une petite ville calme et un entourage de personne âgés ainsi que de chats courant les rues. Oui, la maison avait été effectivement « abandonner » depuis plusieurs année maintenant, devant celle-ci se situais une petite coure ou se trouvais dans celle-ci un petit et ancien puis recouvert de lierre. L'herbe devant elle, avait beaucoup pousser et la nature avais enfin repris ces droits. Mais cela nous suffisait très amplement.

Cette maison se situais donc peut loin du Lancy, ou j'habitai avant, 3-4 klm seulement mais c'était l'occasion pour moi de prendre un tout nouveau départ avec les « esprits » qui me suivait depuis ma jeunesse dans mon ancienne chambre.

Après que maman et papa ai monter nos quelque meuble dans la maison et après avoir déposer tendrement mes jouer dans ma jolie chambre, il était enfin temps de marquer mes repères. Quelque postères de Shakira par-ci par-là... Quelque petit poneys déposer les étagères, un petit lit pour mon tendre Vanille et quelque autocollant de fleurs sur la porte.

J'avais a ce moment là, l'age de 12 ans et demi et je venait tout juste de rentré au Collège, je devait repasser une nuit dans ma chambre quand tout d'un coup et depuis des mois que cela n'était pas arriver, j'ai ressentis leurs présence. Il était plusieurs, tous me regardait mais je ne les voyait pas, je les ressentais simplement. Je me refusait a croire que le cauchemars recommencerais, qu'il serais a nouveau de retour dans ma chambre pour me faire du mal.

Je pose donc mon pied nue à Terre et doucement je me lève. je les ressent me regarder vicieusement et les sent me flairer immoralement. Oui, ils sont bien là... plus d'une dizaines aux reflets de ma chambre encore une fois éteinte, ils sont debout et raide dans leurs divines étreinte les yeux emplis de Souffrances. Un deuxième pieds sur le sol ne suffira pas à me débattre, alors c'est par un synonyme de rébellion et de puissance que commence le chapitre de ma Vie, c'est dans le silence de la nuit que j'entends ma voix de toute son âme résonnez et leurs ordonnez : "Sortezzzz!". [...]


Versé II : Action du Mentalisme

Je l'entendais crier de douleur dans la chambre à côté, replier sur moi-même au milieu de la pièce qui me servait de chambre j'entendais mon père pleurer toutes les larmes de son corps a quelque heures du matin tenant le doigts que l'on devait lui couper a cause d'une grande infection.

Aucun traitement n'avait fonctionner, aucun médicaments n'avais fait son effet et l'opération était obligatoire pour que l'infection ne monte pas eu cœur.

Sur le fond de ces larmes, dans le noir de cette chambre encore assombrie, j'ai sentie couler les mienne pour m'aligner parfaitement à sa douleur.

Rapidement les larmes qui coulait sur mes joue se sont transformés en colère, mon regard vide visant la fenêtre de celle-ci je n'essayerais pas de prier non, j'essayais de réfléchir quand je sentis mes yeux faire gauche-droite gauche-droite comme s'il suivait le trajet d'un chemin dans mon cerveau.

Quelque minute plus tard La douleur avait cessé, l'empathie avait disparu, là, était simplement la concentration.. le combat.. ma respiration fut tout d'un coup haletante, mon cœur battais a une rythmique plutôt lente et apaiser comme devant la mort elle-même, aucune solution ne m'était proposer.

Alors pendant que mon regard suivait un chemin que je n'avais jamais explorer dans mon esprit j'entendis les cris de mon père cesser jusqu'à ce que je tombe de fatigue sur le sol, étendus au milieu de cette chambre dans le noir, le silence fut, aucun bruit, aucune douleur n'existait, la fatigue avait cessé, la réflexion n'existait plus, la solution avait été trouvé.

Non pas par moi-même mais par quelque chose qui était et existait depuis toujours en moi.

Le lendemain matin, je me dirige la tête dans les fesse dans la cuisine ou se trouvais mon père et ma mère, Je les voie, souriant... alors sur la tasse de café que mon père tenait je jette un œil sur le doigt qu'il devait faire couper étrangement, tout avait disparu, l'infection bleuté n'était plus et son doigt avait repris une taille normal.

Un léger sourire sur le coin des lèvre, je lève la tête et regarde ma mère "Papa vas mieux?" Oui, me répondit-t elle, tout est partie pendant la nuit.

Encore âgée de 13 ans je me prépare mon chocolat chaud et remonte seul dans ma chambre pour réfléchir tranquillement. Comment est ce possible de faire partir d'un doigt une partie nécrosé à ce point en une nuit seulement alors que tout les traitement avait échoué?

Je ne me souvient pas de ce dont j'ai rêvé pendant la nuit allongé en plein milieu du sol, je ne me souvient pas du chemin que mon cerveau avait pris pour réaliser ce miracle mais tout ce que je savais c'est que cela avait fonctionné

J'avais fait ce dont j'avais a faire.Je me souvient simplement du regard de ma mère dans la cuisine, le regard que celle-ci ma lancé.. un regard tout à fait étrange comme si elle me suspecter de quelque chose mais sans vraiment y croire, un regard troublant, dériver de l'étrange qui m'as toujours marqué et dont je me souviens encore aujourd'hui.

Versé III - La Lettre

(...) Un autre jour, toujours dans notre maison à Châlette sur Loing, mes parents chercher tout les deux désespérément une Lettre parmi des tonnes de papiers et de classeurs entasser les uns sur les autres dans notre petite salle a manger

Tous était étaler sur les fauteuils, le canapé, le sol et la table et tout les deux ne cesser de se crier dessus pour savoir qui l'avais perdus.

Cette situation devenait plus qu'insupportable pour moi, alors je montas dans ma chambre à l'étage pour ne pas entendre leurs cris comment ainsi que les insultes de toutes sorte qu'ils se balançait mutuellement...

Encore une fois, j'avais a faire a quelque chose qui me dépasser, je voulait régler ce soucis mais je ne savais pas quoi faire et les aider a chercher n'aurais a rien servit. J'ai donc, tranquillement fermer les yeux.

Sous les cris de haine de ceux-ci mon regard c'est soudainement révulser, mes yeux refaisait ce chemins qu'il avais déjà emprunter. Gauche-Droite Gauche-Droite et sous une musique d'Evanescence dans les oreilles, je me suis encore une fois endormie la tête la première sur le plancher de ma chambre.

Je ne me suis réveillée que quelque minutes après, non pas seul mais réveillé par ma mère qui venait de monter les marches et me posa brusquement dans mon état de fatigue la question suivante : « Sandra !? Est ce toi qui as mis cette Lettre sur le Fauteuil ? « me dit elle en me tendais une lettre blanc et affranchis de quelque semaines. « Non maman ! « Lui répondit-je calmement et encore peut réveillée.

Celle-ci me regarda a nouveau d'un air suspect et ajouta : « Écoute Sandra, je cherche cette Lettre depuis des heures avec ton père et je viens de la trouver, poser, toute seul sur le fauteuil a l'écart de tout papier »

Je venait de me souvenir a ce moment là de ce qui c'était passer avant mon endormissement et je la regarda avec un léger sourire au coins des lèvre « Non Maman, je n'ai rien toucher, j'étaie dans ma chambre comme tu le voie ».

Ce fut la deuxième fois que Maman me regarda d'un air suspect, d'un air étrange comme si elle suspecter quelque chose en fois que moi-même je ne connaissait pas. Elle repartie donc voir mon père en me lançant se regard perturbant qu'elle avais l'habitude d'avoir {...)

Versé IV – Le Pouvoir des Chats

J'avais bien sur emmener mon petit Vanille dans ma nouvelle maison ou nous nous étions installer, mon tendre petit Minet, un chat typée sauvage européen roux comme citer plus haut.

Plusieurs gens affirme que les chats possède plusieurs vies... je ne saurais vous dire si cela est véritable mais tout ce que je sais, c'est que mon Vanille avais des pouvoir tout particulier. Déjà de nous réveiller en nous regardant tout simplement dans les yeux...

Vanille, n'avais pas vraiment le droit de sortir dehors car les voitures roulait bien trop vite pour que je prenne le risque de le perde sur la route qui se situait devant notre maison. C'est donc pour cette raisons que nous l'enfermions chaque nuit dans la salle a manger de notre maison. Une très grande pièce ou il possédait tout ce qu'il lui fallait.

Car Vanille, comme beaucoup de chat roux avais la faculté de savoir ouvrir les portes...

- Une nuit tendis que je dormait paisiblement pour une fois à l'étage du dessus, j'ai eu... comme qui dirait-je une crise de somnambulisme. Je suis descendu au RDC pour lui ouvrir la porte de la salle a manger derrière laquelle il ne cesser de miaulé.

Habiller d'une simple chemise de nuit, je suis donc descendu pour lui ouvrir mais toujours endormis dans un sommeil profond, c'est seulement quand j'ai poser ma main sur la poignet de la salle de manger et que j'ai vus Vanille sortir de la pièce que j'ai compris, que je me suis réveillée.

Il m'avais guider jusque – là pour que je lui ouvre... cela ne fait aucun doute car je n'était pas le genre de personne qui était somnambule. C'est alors que j'ai compris le message qu'il m'avais fait passé. Loin, dans mes rêves les plus profonds... là était son premier pouvoir.

Chapitre 5

Le Commencement

Versé I – La Rencontre

Un jour calme et pluvieux, a la sortie du collège.

Il était l'heure pour moi de m'échapper de cette exécutoire que personne n'appréciait. Enfant insultante, mal-élevés que j'étais envers mes professeurs, je parcourait un chemin que ma mère n'avais pas connus ni même imaginer.

Je suivait une route bien distincte des autres dans le monde que l'on appelle encore aujourd'hui Gothique influencer par mes amis, j'avais trouver ma route. Mais j'étais loin d'imaginer que tous les pas que je ferais dans celle-ci était déjà tous dans l'étreinte des siècle bien graver. "Les choses ne changent pas, elle tourne en rond". Comme chaque soir je devais sortir mon carnet de sortir pour passer le portail du collège qui nous séparée de la libertés, portail que je pouvais facilement escalader.

Mais aujourd'hui j'avais fini les courts et comme une journée parmi t'en d'autre je tendis celui-ci a ce que l'on appelé la "Pionne" (Femme qui vérifiait nos droits de sortis). Comme a mes habitude mon carnet n'indiquait aucune heure de sortie, aucun droit ancré car j'étais le genre de personne qui sortait quand elle le souhaitait et je me demande encore si la Pionne regardait, vraiment aujourd'hui mon carnet de sortie.

Le regard noir encadré de cheveux couleur ténébreux, j'avançais fièrement vers ce portail qui pourtant me séparer de quelque seconde du changement radicale de ma vie.

La main dans le sac a dos, l'autre dans tenant mon carnet, ni de bonjour, ni de bonsoir, sortir simplement était mon but. Mais le carnet une fois vérifié et le portail une fois dépassé, ce fût comme...un brutal tremblement, un terrible séisme sous mes pieds, ma vision devint flou et mon cœur se mis a battre comme jamais il ne l'avais fait car ma vision tourner sur le trottoirs d'en face fit place à quelque chose que je n'avais jamais vus.

Un Homme, se trouvait là, marchant d'une allure fière et martial, habiller de noir, sa capuche cachait son visage et je vis un de se yeux, de côté, qui me regarder.

Pour la première fois de toute ma vie je croiser son regard - Comme si toutes les couleurs du monde avait ternis, ma vision du monde changé, mon monde se transforma, la révélation était là.

la vérité à présent dévoilé, sous mon regarde perdus, ma vie était de l'autre côté a quelque mètre de moi, pendant quelque instant, sur une marche rapide je vis passer ce que serait a destiné.

Mon regard, pour ne pas m'écrouler j'ai dû détourner pour me diriger vers le voiture de ma mère garé un peu plus loin sur le côté. Une fois à l'arrière de la voiture, je vis ma mère se retourner en ma direction et d'un ton assez hilarant, celle-ci ajoute "Tu vas en faire un ami celui-ci." ...

Je ne répondit jamais à cette affirmation.. restant à présent silencieuse, je détache un simple sourire et rit... Pourquoi ? Car lui aussi est habillé de Noir ? Non, c'était bien plus que ça ...

"Je ne l'ai jamais aimer, je ne l'ai jamais détesté, c'était bien plus que ça."

Quelque jour suivant cette rencontre je ne cessé de pensé a ce garçon dont je ne connaissait ni le prénom, ni le visage et Quelque semaine passèrent ...

Versé II – Il était là

Il était l'heure pour mon père d'aller faire quelque courses dans le supermarché a côté de notre maison. Dans la voiture, le regard vide, la musique dans les oreilles, je visais la fenêtre et ce que je vis fût plus qu'extraordinaire.

Il est était là ! Habiller de noir, portant une énorme plante dans ces forte main, il travaillait là, dans un petit fleuriste à côté du Magasin. Mon regard toujours fixé dans le vide mon cœur se mis a battre a une allure phénoménale quand je le vit, il se tourna au même moment que la voiture de mon père rentra dans le parking du magasin et me vit pour une toute deuxième fois.

Je suis ensuite sortie avec beaucoup de mal de la voiture de mon père accompagné de ma petite sœur encore jeune qui criait le nom des course que l'on allait acheter

Je ne voulais pas, au fond de moi me faire repérer - j'étaie trop bien coincée pour aller lui parler. Mais je savais que ma chance était là, c'était pour moi le seul et unique moment ou je pourrais aller lui parler avant la fin de son travail.

Les questions commençaient à fuser dans ma tête, qu'allait-je lui dire ? ....C'est alors que mes venue une seul et unique idée - la plus plausible - la plus réalisable : Appelée ma meilleur amie, Irina pour aller lui parler a ma place .

Car Irina était bien plus courageuse que moi ! C'est donc grâce à mon téléphone de poche que je réussie à joindre celle-ci entre les allée du magasin que nous parcourions tout les 3 tout doucement.

Malheureusement Irina habitait a quelque km de chez moi et donc du magasin, je devais donc attendre une bonne demi-heure que ma meilleur amie arrive pour m'aider. Cacher derrière l'établissement, je n'ai pas sus expliquer a mon père et ma sœur pourquoi je restais ici mais je pense qu'il s'en doutait un petit peu.

Je tentait avec beaucoup de mal de me recoiffer sans aucun miroir et retiré le crayon noir qui coulait sous mon regard troublé quand Irina arriva enfin une petite trentaine de minute plus tard.

Toujours cacher derrière l'établissement, je lui expliqua doucement la situation en la remercient du fond du cœur d'être venus à mon aide. Celle-ci eu à son habitude une bonne idée - l'idée d'aller le chercher pour lui parler... Que pouvais-je affirmer à ce moment précis ? Je me contenta d'acquiescer de la tête mais je venait de signer mon arrêt de mort.

J'étaie poser contre le mur externe du magasin, bien cacher de tout, le dos coller à celui-ci, la tête baissée en direction du sol et entouré de magnifique cheveux noir et très long qui cachait parfaitement mon visage palis par la peur.

Quand je vis devant moi, a travers ma longue chevelure deux pieds se poser devant moi et me dire "Bonjour, comment vas tu?" Il était là !

Devant moi mais le courage de relever la tête me manquait, il ne voyait pas mon visage. Dans ma bêtise enfantine je lui répondit "Cela te dirait que l'on se voit se soir ? Je sors souvent le soir avec mes amies" ...

Là était la seul que j'ai trouvé à lui répondre car la seul force qu'il me restait intérieurement était poussé par une envie folle de le rencontrer.

Mes ami n'était que des garçon, tous skateur, gothique et satanique, la seul fille qui m'avais suivi dans ce petit groupe était Irina et nous avions effectivement l'habitude de sortie quand la nuit tombait sur notre ville.

Ce soir là nous avons donc décidé de nous rejoindre vers chez cette Homme que nous ne connaissions pas ...

Il devait être environ 1h du matin quand notre petit groupe entasser au bout de sa rue attendait avec impatience notre nouvelle ami, nous avons vus au loin quelqu'un arriver... une marche fière, une allure martial, une décadence extraordinaire avançait en notre direction, il était là, habiller tout de noir, des chaîne pendant le long de son corps forgé par la vie et sa capuche noir toujours cacher son visage que je n'avais donc encore jamais vus.

Quand il arriva enfin vers nous... Mes amies fut surpris de voir un Homme aussi bien habiller, le grand manteau noir tombant sur les chevilles, il était emplis de jalousie et les critiques de jalousie commençait à fuser devant moi tandis que je marchait à ses côté en direction d'une église sublime que nous aimions tellement.

Adrien, celui-ci se présenta enfin à moi.

Sandra, lui répondit-je une bouteille de vin à la main pour me donner ne serait qu'un peu de force pour oser parler. - Pour la première fois j'entendais le nom de celui que changerais à tout jamais ma vie.

Tandis que le petit groupe que nous étions marchait en direction de l'église, je restait derrière a faire connaissance avec mon nouvelle ami, le vin dans le sang pour me chauffer la voix, l'esprit, pour me forger une certaine force, un certain courage.

La soirée se passa plutôt bien, tout le monde était toujours très heureux de se retrouver dans le calme de la nuit.

Quand la soirée fût terminé, il était temps pour moi de rentrer à pieds chez moi a 45 minutes de marche de notre point de rendez-vous. Après dit au revoir a tout le monde, je posa délicatement mes écouteurs dans mes oreilles, du Nightwish pour m'aider à avancer sur ce long trajet qui m'attendais.

Versé III – Le Détour

Arriver à la moitié de la route, la musique toujours dans les oreilles cachant le bruit des quelque voiture qui passait à côté de moi j'eus cette envie infernal de me retourner et de regarder derrière moi.

Pourquoi?

Je ne saurais vous dire... Mais je me suis retourner et au loin, une silhouette marchait sur les rails du chemin de fers que je venait de dépasser de quelque mètres déjà, quelqu'un me suivait depuis le début sur la route qui devait me ramener chez moi.

Adrien, était là, au loin, déjà, il me suivait, par peur que je me fasse agresser, il était là haut, a quelque mètres derrière moi pour veiller sur moi alors qu'il ne me connaissait à peine.

J'ai donc cessé ma marche pour l'attendre et nous avons terminé la marche ensemble tandis que mes autres ami était déjà bien au chaud chez eux.

Nous avons discuté de tout de rien, jusqu'à ce qu'il finisse par me déposer chez moi... tout comme un acte accomplis, il avait fait son devoir avant de faire demi-tour pour rentrer enfin chez lui a 30 minute de chez moi.

Adrien était le genre de Garçon que l'on ne rencontre pas souvent... Blond au yeux Bleu, il n'avait jamais vraiment connus son père et dans son sang coulait l'air de la Fraîche Bretagne.

Née sans palais, comme si la vie lui avait interdit la parole, il avait trouver un autre moyen de se faire comprendre, par les mains, par le regard mais surtout par cette lumière aveuglante qui l'entourer jour et nuit.

Il avais dans son regard cette braise, une vision du monde à en écrouler les falaise.

Comme si les Violon crier sous sa gloire il donnait à ce monde qui l'entourait cette aspect Divinatoire. Mais Adrien était encore bien plus que ça, il n'était pas mon ami, il n'était pas mon amant, mon copain ou mon ennemi, il est dépassé tout cela. Comme devenus une partie intégrante de ma vie, l'écho dans mes moindre cris, il était mon âme, mon esprit, il était celui qui as jamais marquerait au fers rouge ma vie.

Versé IV – Le Vampire

Tandis que nous commencions à nous voir régulièrement la nuit, je suis arriver un soir chez lui.

Entré par la fenêtre pour n'éveiller personne, il me mena dans une chambre à l'odeur de Santal, comme seul lumière la lueur de quelque bougie qui ont marqué à jamais mon âme.

Nous avons longuement discuté, de tout, de rien, de notre enfance, de tout ce que peut discuter l'adolescence. Quand une requête je lui ai demandé visant l'Encens qui à mes côtés brûlait.


Lui dis-je d'une voix tremblante et lente. "Tu est sur?" me répondit t il. Mais la question ne se posait même pas, il pris alors dans ces mains l'encens qui se trouvait à côté de moi et attrapa mon bras.

Celui-ci grâce à l'encens bien entamer sur la longueur y grava pour toujours un "A" que je regarde encore aujourd'hui, à l'instant même où je vous écrit.

Adrien était ce que l'on appel un Vampire Psychique. Mais ça, comme beaucoup de personne qui l'était avant lui, il ne le savais pas et avait la mauvaise manie de me jeter dehors sous la pluie quand finissait la nuit et quand celui-ci en énergie c'était assez nourri.

Je compris rapidement que je fut sa nourriture favorite. Alors de tout sens, de toute manière Adrien faisait tout pour m'attirer vers lui.